Carnet de route

 

Kensington Market

On July 22, 2010, in Carnet de route, Photos, by Sébastien
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Paul et Angela en vélo, moi en roller, on s’en va découvrir Kensington Market. Angela m’a présenté ça comme le Plateau de Toronto, mais beaucoup moins hype. En fait, c’est le bohème sans le bourgeois. Les petits échoppes où l’on trouve de tout. Une ambiance super agréable, bon enfant.  Les vendeurs d’accessoires à fumer en […]

Paul et Angela en vélo, moi en roller, on s’en va découvrir Kensington Market. Angela m’a présenté ça comme le Plateau de Toronto, mais beaucoup moins hype. En fait, c’est le bohème sans le bourgeois. Les petits échoppes où l’on trouve de tout. Une ambiance super agréable, bon enfant.  Les vendeurs d’accessoires à fumer en tout genre côtoie les magasins tibétains et les restaurants biologiques / végétariens / 100% naturel / sans rien ajouter / produits garanties maison. On est rejoint par deux couchsurfers américains, originaires de la côte Est, et qui se baladent un peu dans le coin pour fêter leur diplôme tout neuf. Ils ont faim. On s’arrête brièvement dans un petit fast food. L’un d’eux commande une poutine ; me voilà rassuré, on trouve facilement de la poutine à Toronto (avec du vrai fromage scrouitch scrouitch dedans !) mais je ne suis pas encore en manque pour le moment. Quand je lui demande si c’est sa première, il me répond que non ; il en a déjà mangé à Vancouver. Bon… on peut donc connaître la poutine sans jamais être allé à Montréal ! Comme la feuille d’Érable, le huard, ou le sirop d’érable, la poutine -symbole québécois- semble s’imposer tranquillement comme symbole canadien. Je trouve vraiment ça amusant. D’ailleurs, au moment où j’écris ça, assis dans un pub qui porte le doux nom de « l’idiot du village », le couple juste en face de moi est en train d’attaquer une poutine. Décidément !

On passera la journée à se promener dans le quartier. Rejoint par une australienne et une ontarienne pendant quelques temps, on retrouvera aussi une finlandaise. Je continue à adorer ce mélange de culture, ce côté sans frontière dans les rencontres. Et Toronto dans tout ça ? La promenade est agréable, j’y suis bien. Mais je ne suis pas dans un mode « découverte ». C’est horrible en roller (les revêtements sont vraiment mauvais) mais c’est relativement agréable à pied. J’ai quand même un bon feeling dans cette ville. Je suis en agréable compagnie ; je fais des photos ; on échange, on discute, j’oublie Montréal. Ça fait du bien !

 

Pouem Pouem et Ding Dong

On July 22, 2010, in Carnet de route, Photos, by Sébastien
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Couchsurfing, encore et toujours, c’est l’occasion de rencontres inusitées, c’est l’occasion aussi d’expériences inusitées. Ainsi, quand Gerald a annoncé qu’il organisait une visite de l’église où il travaille comme carillonniste, il était clair que j’étais partant. J’abandonne donc Angela -qui avait de toute façon autre chose de prévu- pour me diriger avec Paul vers l’église […]

Couchsurfing, encore et toujours, c’est l’occasion de rencontres inusitées, c’est l’occasion aussi d’expériences inusitées. Ainsi, quand Gerald a annoncé qu’il organisait une visite de l’église où il travaille comme carillonniste, il était clair que j’étais partant. J’abandonne donc Angela -qui avait de toute façon autre chose de prévu- pour me diriger avec Paul vers l’église de Gerald. Belle petite église, en plein centre ville. On est une dizaine de couchsurfer à en faire le tour. On commence par une petite démonstration et explication des grandes orgues, dans une église vide. Le son est magnifique. Et puis c’est la première fois que j’ai l’occasion de voir le clavier d’aussi prêt. Je n’ose pas demander  à jouer quelques notes. Peut être aurais-je du…

On attaque ensuite l’ascension de la tour du carillon. Pour votre culture, sachez qu’il y a seulement 11 carillons au Canada, environ 600 dans le monde (dont 200 en Pologne) et qu’il s’en construit un ou deux par an. Je n’ai pas pu m’empêcher de poser la question : ça prend une année à construire, environ, et il y a 5 fabricants de carillon dans le monde. Et des carillonistes ? Environ 200. Toute petite communauté, qui organise des séminaires de temps en temps. D’après Gerald, c’est extrêmement intéressant. Je n’en doute pas ! Sachez, enfin, que pour être un carillon, vous devez avoir 23 cloches. Si vous en avez moins, vous n’êtes pas un carillon, mais un « chime ». Enfin, et si je me souviens bien, le plus gros carillon a 54 cloches. Et oui, nous avons eut le droit à une démonstration. Et oui, une deuxième fois, nous avons eut le droit de faire sonner les cloches. Évidemment, c’est un peu gênant. En plein centre ville de Toronto, il y a pas mal de gens qui peuvent vous entendre. Mais ça vaut la peine d’en sonner une ou deux pour le fun !

Autre chose importante à savoir : c’est génial d’être carillonniste un 1er avril, histoire de faire des blagues aux gens, en sonnant les mauvaises heures au mauvais moments ! Tout cela me donne des envies de réorientation de carrière !

La visite se termine par un petit coup d’oeil du haut de la tour de l’église. L’escalier qui mène au carillon est du genre très étroit, circulaire, et très vertical. C’est le même escalier, qui continue, jusqu’au sommet à environ 40 mètres. Il ne faut pas être claustrophobe pour monter là dedans. Juste avec mon sac à dos, j’ai du mal à tourner. Évidemment, la montée se fait quasiment dans le noir, sur des vieux escaliers en bois qui grince comme pas possible. Mais la vue du sommet est vraiment belle !

 

Une soirée au Paupers

On July 22, 2010, in Carnet de route, by Sébastien
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On redescend sur terre après quelques photos. J’avais expliqué à Paul à quel point c’est simple de faire des photos panoramiques. Lui, ça spécialité, c’est le HDR. Un jour, j’en ferais peut être… on se met à délirer sur des photos panoramiques, HDR, nocturnes. Délires de photographes difficile à comprendre ! Mais qu’il faudra que […]

On redescend sur terre après quelques photos. J’avais expliqué à Paul à quel point c’est simple de faire des photos panoramiques. Lui, ça spécialité, c’est le HDR. Un jour, j’en ferais peut être… on se met à délirer sur des photos panoramiques, HDR, nocturnes. Délires de photographes difficile à comprendre ! Mais qu’il faudra que j’essaie au moins une fois ! Après la visite, petit repas au restaurant, histoire de discuter encore un peu tous ensemble. Gerald est vraiment sympathique et agréable. Dans la quarantaine bien avancée, il a le profil du gars qui a vécu des milliers de choses, qui pourrait raconter sa vie pendant des heures et des heures, mais qui ne le fera pas, à moins qu’on lui demande. J’aurais bien aimé faire plus ample connaissance avec lui. Peut être lors d’une prochaine visite à la ville reine.

Retour sur les rollers, direction le Paupers. Ce soir, il y a une rencontre couchsurfing, non officielle. Simplement plein de gens qui se retrouvent dans un bar, pour aller boire un verre. J’y retrouve Angela. L’ambiance est la même qu’à Montréal. Sauf que mon rôle n’est pas le même que d’habitude. Au lieu de faire parti des gens qui connaissent à peu prêt tout le monde, je suis le touriste de passage. Je discute avec pas mal de gens, parle à droite, à gauche. Une brésilienne, un autrichien, une fille de Vancouver. Les sujets sont toujours un peu les mêmes. Pourquoi est-ce que vous êtes à Toronto, pour combien de temps, etc… comme à Montréal, je repère les deux français sans le moindre problème. On discute un peu aussi… belle petite soirée sans prétention.

On rentrera chez Angela vers une heure du matin. La soirée se terminera sous forme de longue discussion philosophique sur la pelouse d’un voisin, en regardant les gens dans la rue.

 

Burning Man 2010 ?

On July 22, 2010, in Carnet de route, by Sébastien
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En fait, il y a quelque chose qui se met en place encore plus que prévu. Là encore, je vois ça comme un signe. Le timing est si parfait que je n’ai pas le choix de le prendre en compte. Si je retrouve Virginie aux alentours du 8 août dans les rocheuses, que l’on prend […]

En fait, il y a quelque chose qui se met en place encore plus que prévu. Là encore, je vois ça comme un signe. Le timing est si parfait que je n’ai pas le choix de le prendre en compte. Si je retrouve Virginie aux alentours du 8 août dans les rocheuses, que l’on prend une dizaine de jours pour en faire le tour ensemble, je partirais donc vers le sud aux environs du 18. Ce qui me ferait arriver dans le coin de Reno, Névada, à la fin du mois d’août. Reno, Nevada, fin du mois d’août ? Burning Man ? Impossible à rater… les billets sont tous vendus depuis longtemps, mais on en trouve pas mal en revente sur les sites de petites annonces… et puis.. je me souviens de Jane, qui y va. Je lui envoie un message. Il se trouve que son chum a un billet à vendre… donc il semblerait que ce soit confirmé. Contre toute attente, alors que je ne pensais pas que ça arriverait un jour, je serais au Burning Man 2010 !

 

Réveil, aux-revoir et bord de mer

On July 23, 2010, in Carnet de route, by Sébastien
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Nouveau matin, nouveau réveil tranquille. Au programme aujourd’hui, j’ai envie d’aller faire un tour sur Toronto Island. L’équivalent de l’île Sainte Hélène à Montréal : un grand parc où l’on peut se promener, avec une magnifique vue sur la ville. J’ai envie de prendre quelques photos de la skyline de Toronto, et l’endroit me semble […]

Nouveau matin, nouveau réveil tranquille. Au programme aujourd’hui, j’ai envie d’aller faire un tour sur Toronto Island. L’équivalent de l’île Sainte Hélène à Montréal : un grand parc où l’on peut se promener, avec une magnifique vue sur la ville. J’ai envie de prendre quelques photos de la skyline de Toronto, et l’endroit me semble le plus approprié. Ça sera également l’occasion d’une petite promenade en roller. Après avoir pris mon temps pour me réveiller, je dis finalement au revoir à Angela. Au moins, c’est un au revoir facile : Toronto-Montréal, ça n’est pas loin. Maintenant que je connais la ville et que je sais que je l’aime, j’imagine que j’y reviendrais plus facilement. Angela, de son côté, me confirme également qu’elle repassera par Montréal. C’est l’avantage du couchsurfing « de proximité » !

Petit détour par Pourquoi Pas ? que j’ai déplacé la veille, après avoir trouvé un petit papier jaune sur mon pare-brise. J’avais mal compris un panneau. Dommage… l’amande est juste de 30$, mais je préfère éviter de récidiver trop souvent. Je me suis donc installé dans un parking payant ; ça revient à 15$ par jour. Si je fais beaucoup de villes du genre, les parkings vont devenir mon deuxième gros budget après l’essence !

Je range quelques affaires, change de chaussettes, et repars en rollers dans les rues de Toronto. Je pense que la prochaine fois que j’entends un montréalais se plaindre de l’état des routes au Québec en disant que c’est mieux en Ontario, je lui offre une paire de rollers, pour qu’il aille en faire dans la ville reine. C’est tout simplement insupportable. Les revêtements des rues sont horriblement mauvais, et les nids de poules ne manquent pas. Ça reste plus rapide que la marche à pied, certes, mais j’y perds quand même une partie de mon plaisir !

Je descends donc la rue d’Angela jusqu’au bord de mer… je sais que je devrais écrire « bord du lac », mais il me semble qu’à partir du moment où on ne voit plus l’autre bord et qu’il y a des vagues, on doit pouvoir appeler ça la mer… je mets un peu de temps avant de trouver l’accès au traversier, où je peux finalement me mettre en ligne pour attendre patiemment.

 

Toronto Island

On July 23, 2010, in Carnet de route, Photos, by Sébastien
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L’île en elle même me fait beaucoup penser à l’île Ste Hélène, en plus grand. Les gens s’y promènent, se reposent, prennent ça tranquille. Bel endroit pour vagabonder. Je n’ai rien apporté pour me baigner ; en même temps, l’eau ne me paraît pas très chaude ni très invitante. Et puis cette fois, il y […]

L’île en elle même me fait beaucoup penser à l’île Ste Hélène, en plus grand. Les gens s’y promènent, se reposent, prennent ça tranquille. Bel endroit pour vagabonder. Je n’ai rien apporté pour me baigner ; en même temps, l’eau ne me paraît pas très chaude ni très invitante. Et puis cette fois, il y a quand même quelques arbres !

 

L’idiot du village

On July 23, 2010, in Carnet de route, by Sébastien
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J’ai prévu de quitter Toronto en début de soirée, après le gros du trafic, mais pas trop tard pour pouvoir m’éloigner suffisamment de la ville et trouver un endroit où dormir. Je quitte donc l’île un peu avant 17h, mais m’arrête quand même deux fois en chemin. La première, parce que j’ai envie d’une bière, […]

J’ai prévu de quitter Toronto en début de soirée, après le gros du trafic, mais pas trop tard pour pouvoir m’éloigner suffisamment de la ville et trouver un endroit où dormir. Je quitte donc l’île un peu avant 17h, mais m’arrête quand même deux fois en chemin. La première, parce que j’ai envie d’une bière, que je trouve un pub dont le nom me plaît bien, et que ça me fera du bien de me poser un peu et de relaxer. J’ai quand même, une fois de plus, beaucoup roulé et beaucoup marché. La deuxième, parce que je tombe sur un petit concert extérieur, et que j’aime bien m’arrêter pour ce genre de choses. La musique n’est pas excellente, mais c’est quand même un petit trente minutes des plus agréables. Et puis je m’arrête aussi dans un Canadian Tire : il faut que j’achète un convertisseur 12V-110V pour pouvoir recharger mon ordinateur pendant que je roule. J’en achète un relativement puissant, car j’ai un autre appareil, sans doute plus consommant, que je vais avoir besoin de brancher de temps à autre. Un dernier arrêt, enfin, dans un magasin de photo, pour me racheter une télécommande. J’ai raté mes tracés d’étoiles dans le désert la première fois en perdant la précédente, je ne me ferais pas prendre une deuxième fois. En plus, celle ci est sans fil. Encore plus pratique !

 

Une chambre avec vue sur le lac, svp

On July 23, 2010, in Carnet de route, by Sébastien
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Quitter Toronto se fait sans aucun problème. Le départ est d’ailleurs magnifique. L’autoroute traverse le centre ville de Toronto, en hauteur. J’ai définitivement l’impression de voler au milieu des buildings. C’est la nuit, tout est éclairé, c’est tout simplement grandiose ! Et puis la banlieue s’étire. J’ai repéré sur l’atlas un endroit où je pourrais […]

Quitter Toronto se fait sans aucun problème. Le départ est d’ailleurs magnifique. L’autoroute traverse le centre ville de Toronto, en hauteur. J’ai définitivement l’impression de voler au milieu des buildings. C’est la nuit, tout est éclairé, c’est tout simplement grandiose ! Et puis la banlieue s’étire. J’ai repéré sur l’atlas un endroit où je pourrais probablement m’arrêter. Un peu têtu, j’ai décidé que ce soir je dormirais sur le bord du lac. Je quitte l’autoroute après une bonne heure de route, et prends la petite route qui longe le lac. À plusieurs reprises, je m’essaie à des petits chemins ; évidemment, comme au Québec, dès que l’on arrive sur le bord du lac, les maisons s’enchaînent les unes après les autres. Impossible de trouver un terrain qui ne soit pas privé… je récidive pourtant 4 fois. Je viens de le dire : je suis têtu, et je veux dormir sur le bord du lac. Et puis finalement, contre toute attente, je trouverais un petit emplacement, où je pense que je ne dérangerais personne. Pour l’occasion, je me fais plus discret : je dormirais au rez-de-chaussée plutôt qu’à l’étage. C’est tout aussi confortable, et un peu plus rapide à mettre en place. Quelques voitures passent, mais aucune ne s’arrêtent pour me dire que je n’ai pas le droit d’être là. Tant mieux, parce que je suis très bien là personnellement ! Je m’endors sans aucun problème !

 

Tondeuse, gruau et descendance

On July 24, 2010, in Carnet de route, by Sébastien
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Je suis réveillé par un tracteur. Évidemment, il faut que ce soit ce matin là que le propriétaire du champ en face ait décidé de tondre. Enfin… la journée commencera tôt comme ça ! Je consacre à nouveau une petite demi heure à l’optimisation du rangement. À la fin du voyage, tout va être à […]

Je suis réveillé par un tracteur. Évidemment, il faut que ce soit ce matin là que le propriétaire du champ en face ait décidé de tondre. Enfin… la journée commencera tôt comme ça ! Je consacre à nouveau une petite demi heure à l’optimisation du rangement. À la fin du voyage, tout va être à une place exactement parfaite ! Ou pas, parce que les choses bougent un peu quand même quand je roule. Je grignote des fruits au sirop en guise de petit déjeuner ; je me suis acheté du gruau, je trouve que ça fit bien avec mon voyage, mais il me manque un truc : j’ai réussi à partir sans briquet ! Donc pas de gaz pour le moment. J’attends avec impatience le moment où je vais enfin cuisiner dans le van ! Cette nuit, c’était le retour du Seigneur des Anneaux. Sauf que cette fois, c’est les petits enfants de Frodon qui décident de faire la même chose que lui, parce que ça avait l’air vraiment le fun ! Quelques générations plus tard, donc, les voilà en route pour le Mordor, pour le plaisir ! Si Frodon savait que son épopée allait devenir un voyage touristique ! N’empêche que ces rêves de quêtes sans fin me paraissent pas mal symboliques !

 

Welcome in Disney Land !

On July 24, 2010, in Carnet de route, Photos, by Sébastien
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Une fois prêt, je retourne sur l’autoroute ; direction Niagara Falls. Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre ; on m’avait juste dit que c’était touristique. Personnellement, je voyais juste le cliché des gens venant en lune de miel à Niagara… on ne m’avait pas dit que j’allais tout simplement débarquer en plein Disney […]

Une fois prêt, je retourne sur l’autoroute ; direction Niagara Falls. Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre ; on m’avait juste dit que c’était touristique. Personnellement, je voyais juste le cliché des gens venant en lune de miel à Niagara… on ne m’avait pas dit que j’allais tout simplement débarquer en plein Disney Land. Une chance que j’avais déjà vu Végas avant ; ça me permet d’être moins surpris quand je vois des dinosaures géants, des grandes roues, et plein d’autres attractions du genre. Le musée Guiness, la ville en légo, le musée des choses bizarres, un musée de cire, ça ne s’arrête pas. En même temps, c’est logique quand on y pense. Des chutes d’eau, on peut regarder ça un petit moment, mais après une heure, le touriste repart s’il n’a rien d’autres à faire.