Quitter Toronto se fait sans aucun problème. Le départ est d’ailleurs magnifique. L’autoroute traverse le centre ville de Toronto, en hauteur. J’ai définitivement l’impression de voler au milieu des buildings. C’est la nuit, tout est éclairé, c’est tout simplement grandiose ! Et puis la banlieue s’étire. J’ai repéré sur l’atlas un endroit où je pourrais probablement m’arrêter. Un peu têtu, j’ai décidé que ce soir je dormirais sur le bord du lac. Je quitte l’autoroute après une bonne heure de route, et prends la petite route qui longe le lac. À plusieurs reprises, je m’essaie à des petits chemins ; évidemment, comme au Québec, dès que l’on arrive sur le bord du lac, les maisons s’enchaînent les unes après les autres. Impossible de trouver un terrain qui ne soit pas privé… je récidive pourtant 4 fois. Je viens de le dire : je suis têtu, et je veux dormir sur le bord du lac. Et puis finalement, contre toute attente, je trouverais un petit emplacement, où je pense que je ne dérangerais personne. Pour l’occasion, je me fais plus discret : je dormirais au rez-de-chaussée plutôt qu’à l’étage. C’est tout aussi confortable, et un peu plus rapide à mettre en place. Quelques voitures passent, mais aucune ne s’arrêtent pour me dire que je n’ai pas le droit d’être là. Tant mieux, parce que je suis très bien là personnellement ! Je m’endors sans aucun problème !
Carnets de route
Quitter Toronto se fait sans aucun problème. Le départ est d’ailleurs magnifique. L’autoroute traverse le centre ville de Toronto, en hauteur. J’ai définitivement l’impression de voler au milieu des buildings. C’est la nuit, tout est éclairé, c’est tout simplement grandiose ! Et puis la banlieue s’étire. J’ai repéré sur l’atlas un endroit où je pourrais […]