Si un jour on vous invite à Buffalo, je vous suggère fortement de plutôt aller à l’enterrement du parrain de votre arrière-grand-oncle que vous n’avez jamais connu. Vous aurez sûrement plus de fun ! Samedi après midi, les rues sont vides. Il n’y a pas de magasins (pas dans le sens « pas de magasins ouverts » mais bien dans le sens « aucun magasin, si ce n’est une pharmacie où on vous regarde avec des grands yeux ronds si vous ovulez acheter une carte postale »; personne. En fait, je me sens même mal à l’aise. Je me demande quelles sont les probabilités que je me fasse agresser, ou que quelqu’un s’intéresse de prêt au contenu de « Pourquoi Pas ? ». Cause perdue, donc, pour la carte postale. Je n’insiste pas, je pars en fait assez rapidement.
Carnets de route
Si un jour on vous invite à Buffalo, je vous suggère fortement de plutôt aller à l’enterrement du parrain de votre arrière-grand-oncle que vous n’avez jamais connu. Vous aurez sûrement plus de fun ! Samedi après midi, les rues sont vides. Il n’y a pas de magasins (pas dans le sens « pas de magasins […]
1 Response » to “Buffalo, ville hyperactive”
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Cest quil faut aller y rencontrer quelquun que tu connais deja (qui connait la ville) pendant quil y a un match de hockey contre le Canadiens de Montreal… ensuite le soir tu te promene dans la ville et il y a plein de chandails rouge et damericains qui veulent tabasser les chandails rouges… et ensuite tout le monde va sentasser dans les 4 clubs et les 3 restaurants de la ville 😛