Je retourne marcher un peu dans les stands. Je passe un côté d’un fabriquant de flûtes japonaises (à base de roseau). Les flûtes sont magnifiques. Je commence à discuter un peu. J’en essaie quelques unes. Le vendeur est super sympa. Je pense aux histoires que j’aime raconter ; à ces contes plus ou moins zens, plus ou moins japonais, qui constituent mon bien maigre répertoire. Les flûtes sont magnifiques. Ça ferait un super souvenir. Je suis à deux doigts de craquer. Les prix restent, il me semble, raisonnable. Du moins le serait il si je travaillais à temps plein. Cette fois, je ne succombe pas à la tentation. À ma grande déception.