Ça aussi, j’avais déjà expérimenté en juin. Mais en gros, entre les montagnes et la côte, il n’y a pas grand chose. D’abord une partie jaune, sèche, et légèrement montagneuse, puis ensuite des champs, des champs et des champs. Occasion d’acheter des avocats divinement bons et pas chers. Occasion d’acheter une mangue divinement bonne et pas chère. Mais c’est à peu prêt tout. J’avance donc assez rapidement, évitant les grands axes, prenant des routes un peu au hasard. En fait, j’essaie d’aller le plus droit possible. Il y a bien un immense lac de barrage, à un moment, où je m’arrête un peu, mais rien qui ne m’inspire assez pour me mettre en retard sur mon emploi du temps. Pour une fois !
Carnets de route
Mais qu’il faut bien traverser !