J18- Retour à Vancouver, dans la civilisation, le trafic et les soucis

Après le « Hell’s Gate », piège à touriste quand même agréable, on rejoint à Hope la route principale. Rendu là, je n’ai plus qu’une envie : arriver au plus vite à Vancouver, et sortir mes rollers !

La route est belle, la voiture a le goût d’en profiter (elle doit commencer à sentir l’écurie approcher) et ça roule (trop) bien. Sauf que Vancouver ne déroge pas à la loi de toutes les grandes villes : saturation complète du réseau autoroutier. On a beau être samedi après midi, les embouteillages commencent à environ 30 kilomètres de l’arrivée.

Je décide de ne pas traverser le centre ville, mais plutôt de prendre directement le pont qui dépose à Stanley Park. À priori, toute la ville à rendez-vous ici. Je gare la voiture, et enfile mes rollers.

J’ai un certains nombre de petits soucis, mais je les mets de côté pour le moment : où est-ce que je dors ce soir ? Je suis sensé faire du couchsurfing, mais la personne qui doit m’héberger ne m’a pas donné de quoi la contacter ; je n’ai pas fait attention, je m’en suis rendu compte seulement ce matin. Je lui ai envoyé un mail, mais pas de nouvelles depuis…

Quoi faire de la voiture ? Je devais la ramener la veille ; l’agence où je l’ai prise est fermée pour la fin de semaine. Quand à mes bagages… l’idée initiale était simple : arriver en voiture chez mon hôte, déposer les bagages, puis ramener la voiture.

Bref… on verra plus tard, après la balade.

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