Rue du Pourquoi Pas



Parce qu’il y a toujours une route qui, quelque part, m’attend.
Carnets de route, photos de voyages, et pensées vagabondes.

Écrit par : Sébastien ChionOctober 11th, 2011
  • Joyeux Ploufiversaire

    Il y a trois ans, j’ai fêté mon anniversaire à Montréal ; il y a deux ans, j’étais en France. L’année dernière, à San Francisco. Ce concept d’anniversaire baladeur me plait bien, et il semble très bien parti pour se reproduire encore dans une nouvelle place l’année prochaine.

    Si l’année dernière la période un peu avant et un peu après ma fête était très clairement sur le thème du feu, cette année, c’est sans le moindre doute l’eau qui est au rendez-vous. Un élément chaque année ? L’idée me plaît. On verra ce que je me prépare pour l’année prochaine. Deux semaines de spéléologie ? Ou mon baptême parapente, parachute et deltaplane ?

    C’est étrange ; je n’ai pas vraiment l’impression que c’est mon anniversaire. D’abord, la météo ne colle pas. Même à San Francisco l’année dernière, je ne me promenais pas en sandale en me plaignant d’avoir trop chaud ; nous ne sommes très clairement pas au mois d’octobre. Il y a eut un bug dans la matrice à un moment. Ensuite, il y a toujours un moment où j’arrive à organiser un souper avec des gens pour ma fête. Cette année, ça sera tête à tête avec Iris. Ça ne me dérange pas du tout, mais c’est inhabituel !

    Mon cadeau d’anniversaire était une surprise ; surprise à moitié éventée, mais que j’attendais avec une impatience évidente ! En fait, il se trouve que ce cadeau d’anniversaire allait dans la continuité de celui fait par mes parents la semaine passée. Cadeau qui devait rester caché en attendant que la technologie se décide à se débloquer, mais ça n’a pas marché. Bref, il y a une semaine, Iris faisait son baptême de plongée, tandis que je reprenais un détendeur en bouche pour la première fois depuis 13 ans ! Le tout a été filmé, on a la vidéo, mais mon lecteur CD/DVD semble avoir rendu l’âme. On essaie de vous mettre la vidéo dès que possible.

    Bref… je parlais de cadeau dans la continuité, parce qu’aujourd’hui, on remet ça. Une voiture passe nous prendre à 8h du matin ; elle nous amène dans un centre de plongée. Iris a tout prévu, tout organisé ; moi on me tient par la main du début jusqu’à la fin. La plongée sera encadrée par Guillaume. Vu son accent, on se retrouve à parler Québec/Montréal pendant un moment ; et on sera même accompagné par Rémi qui filmera. Lui est suisse. Le contact est très sympa, les échanges se passent super bien. C’est vraiment chouette !

    Intervention du futur :

    On monte dans la voiture, qui va nous amener à Tulamben. C’est à deux heures de route d’ici ; à l’autre bout du monde donc. C’est pas grave. On discute, on placote, et on admire le paysage qui, après un moment, finit par devenir vraiment magnifique ! Les rizières sont de toutes beautés et on s’en remplit bien les queneuilles !

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    Et puis comme aujourd’hui c’est un jour important (bin oui, c’est mon anniversaire, faut suivre !) les gens font même des processions sur mon passage !

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    Et c’est sans compter un point de vue magnifique sur le mont Agung, qui nous fait de l’oeil, en nous disant à bientôt, du haut de c’est 3 142 mètres !

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    Et puis finalement, on arrive au centre. Un petit briefing rapide, et on saute dans la piscine. Les exercices, on les a déjà fait la semaine passée, mais comme il n’y a rien d’officiel, on les refait rapidement à nouveau ; en plus, Rémi en profite pour nous filmer même en piscine ; c’est bien sympa de sa part ! On part plonger juste après ça. Une première plongée, une pause miam miam, et une deuxième plongée l’après midi, sur l’épave du USS Liberty, coulé par les japonais pendant la deuxième guerre !

    Bon allez… on arrête le blablatage. Cependant, pour des raisons techniques (pour faire changement) les vidéos ne seront pas en ligne avant un moment. Si on trouve des connexions internet assez facilement, des connexions internet rapides qui permettent d’uploader de la vidéo, c’est autre chose ! Promis, je vous reviens dès que possible avec ça !

    Le chemin retour est encore plus long, avec encore plus de processions, mais c’est pas grave.

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    Là encore, on blablate, on placote, on discute. Et on arrive finalement de retour à la maison.

    Et comme c’est encore un peu ma fête, j’offre à Iris un petit japonais pour marquer le coup !

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    Ne le dîtes pas à ma mère !

    Parce qu’aujourd’hui, je vais conduire. Une vraie voiture, pour de vrai, du mauvais côté de la route, avec des balinais fous tout autour !

    Le chauffeur de l’agence passe nous prendre à l’hôtel. L’agence est tenue par un allemand qui parle français, avec qui on discute un peu. Il est très sympathique, et nous donne quelques conseils utiles. Mon préféré reste quand même celui relatif à la police : les policiers doivent payer eux mêmes l’essence et les pneus de leur véhicule. Plus ils roulent, moins ils ont d’argent. Donc en général, ils restent sur le bord de la route, et sifflent les infractions. Si vous entendez siffler, ne regardez surtout pas. Ignorez le, continuez votre route. Il ne vous suivra pas, c’est pas forcément assez rentable pour lui. Et s’il vous fait signe de la main, répondez lui ! Il faut toujours dire bonjour aux policiers qui vous disent bonjour… certes… je sais pas si ça se produira, et si j’aurais le cran de réagir comme ça. On verra bien. Pour la corruption, je suis déjà pas mal au courant ; et pour la technique de conduite, j’ai fait beaucoup d’observation. Donc tout devrait bien se passer. En fait, je n’ai pas vraiment d’inquiétudes. Il suffit d’y aller calme, zen, tranquille et relaxe. Et très attentif. Le loueur confirme.

    La voiture est une vieille jeep qui a bien son âge. Sans doute même plus. Pas de freinage assisté, boîte manuelle et, évidemment, volant du mauvais côté. Mais ça se conduit pas trop mal. Ça fait un moment déjà qu’on est à Bali, donc je suis déjà un peu habitué au fait d’être du mauvais côté de la route, et j’ai donc aucun problème avec ça. Le levier de vitesse à main gauche, je vais le chercher naturellement, vu qu’à droite il y a la porte. Par contre, je passe mon temps à essayer de mettre les essuies glace au lieu du clignotant. Enfin, j’imagine que ça finira par passer !

    Avoir une voiture, c’est quand même agréable. Ça donne une liberté de déplacement appréciable, et je voulais vraiment finir par en louer une, histoire qu’on puisse aller où on veut, comme on veut. Un peu comme le scooter à Lombok ; mais là, sur plus longtemps, et en plus confortable.

    Et c’est ainsi que l’on a pris la route d’Ubud !

    Ma principale inquiétude, comme je l’avais déjà relevée, c’était de ne pas se perdre. Arriver à un carrefour sans indication n’est pas inhabituel, et dans ce cas, il faut savoir un peu improviser, savoir un peu où on va aussi. Et avoir une bonne carte. Qu’en l’occurrence, on a acheté sans la moindre hésitation.

    Je sais pas si il y a écrit « touriste » jusque sur la voiture. Ou si simplement on nous repère par la fenêtre. Mais aux intersections avec feux rouges, il y a toujours un scooter qui s’arrête à côté pour nous demander où l’on va. Et nous expliquer quelle route prendre. Même pas besoin de panneaux indicateurs ! Les locaux vous le disent directement ! Il y a aussi un vendeur de journal à un moment ; quand on lui dit que l’on est français, il nous propose « le Monde » et « l’équipe ». Je n’ai pas pensé à regarder la date, ni à demander les prix. Les deux m’intriguent quand même un peu. Quoi qu’il en soit, on décline.

    Et puis un peu plus loin, un autre scooter s’arrête à côté de nous pour discuter. Quand on lui dit qu’on va à Ubud, il nous répond que lui aussi. Il nous propose de nous accompagner un peu ; on s’arrêtera à deux trois endroits, et en échange il pourra pratiquer son anglais.

    En fait, je finis par comprendre (un peu moins vite qu’Iris) que ces braves gens sympathiques sont simplement des rabâteurs : payés par les boutiques (sûrement à la commission), ils repèrent les touristes, et leur proposent de visiter quelques endroits. Le premier arrêt se fait dans une boutique où ils travaillent l’argent. Les objets sont magnifiques. C’est toujours le même problème, par contre : puisqu’on continue vers l’Australie, on ne peut pas vraiment ramener de cadeaux. Ni trop se surcharger nous même.

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    On décide finalement de se débarrasser de notre guide intéressé. C’est toujours plus sympa d’avancer à notre rythme. Et puis se perdre, tourner à droite au lieu de tourner à gauche, ça permet de se retrouver à des endroits imprévus. Comme par exemple Goa Gajah, la grotte de l’éléphant. Le temple est tout simplement magnifique !

    J’ai aussi eut l’explication pour les nombreuses processions d’hier. Il semblerait qu’en fait, mon anniversaire n’y soit pour rien. La religion hindou semble se foutre un peu de mon existence. C’est regrettable ! Non, la réalité, c’est que ce soir, c’est la pleine lune. Et ça, à priori, ça se fête en grand. D’ailleurs, dans le temple de Goa Galah, les préparatifs battent leur plein également. Les offrandes débordent de tout les côtés ; leur préparation ressemble presque plus à un travail à la chaîne qu’à quelque chose de spirituel !

    L’arrière du temple, lui, est l’occasion d’une balade dans un décor qui vient très clairement vous rappelez que vous êtes dans les tropiques, et qu’il y fait chaud et humide !

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    Et puis c’est aussi l’occasion idéale pour faire une expérience que, j’imagine, il faut faire au moins une fois dans sa vie. Pas forcément deux par contre… je suis pas forcément très fan du lait de coco, à priori. Mais bon… c’est bien d’être touriste parfois !

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    L’avantage d’avoir acheté une carte, c’est que l’on sait exactement où l’on est perdu, et que par conséquent, se déperdre est très facile. On peut même repérer l’hôtel qui nous attend. C’est facile de se rendre. Je mémorise donc l’itinéraire, avec l’intention de le suivre à la lettre. C’est sans compter, évidemment, les travaux et la voie en sens unique, qui m’oblige à tourner plus tôt que prévu. Me permettant ainsi d’être sur la bonne rue, et d’arriver directement à l’hôtel. Raté pour le sens de l’orientation !

    Dans la description, il est marqué « avec vue sur une rizière ». Ce qui me perturbe, c’est qu’en regardant la carte (et même sans la regarder ; en regardant simplement autour de nous) on est très clairement en plein centre ville… on prend la petite ruelle, on passe à côté du temple, on passe devant le centre de yoga, on traverse quelques maisons… et pouf ! Rizière et hôtel avec vue dessus ; comme prévu. C’est pas merveilleux ça ? En tout cas, j’ai déjà vu pire comme vu depuis un hôtel au centre ville…

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    On s’installe, on se pose et repose, on prend notre temps. On relaxe. Et on part se balader un peu dans les rues d’Ubud. Ubud, j’en parlerais un peu plus tard. Quand j’aurais un peu mieux cerné les lieux. Mais ça me plait. Un mélange de Nelson (Colombie Britannique) et Portland (Oregon).

    Comme c’est la pleine lune et que les temples vibrent d’activités, on met nos déguisements de parfaits visiteurs de temple. Approuvés par les gens de l’hôtel, qui nous disent que c’est très bien. Sauf que… grosse déception : les temples, aujourd’hui, sont interdits d’accès aux touristes. C’est une grosse cérémonie, il n’y a pas assez de places. Dommage… sur le coup, je pense qu’être un peu plus perdu au milieu de nul part nous aurait permis d’en profiter. Par contre, il paraît que les célébrations durent trois jours. On essaiera de se rattraper demain.

    À la place, comme Ubud est un lieu de danse et de spectacle, on essaie de se rattraper en se dirigeant à un endroit où devrait avoir lieu ce soir un spectacle de danse de feu. Évidemment, c’est fermé : tout le monde est au temple. Deuxième déception. Décidément ! Alors pour se consoler, on se trouve un restaurant. Et pour se faire pardonner, on a le meilleur rapport qualité prix que l’on a trouvé depuis le début de notre voyage ! Le Bollero… un service impeccable, rapide, hyper-super souriant, la bouffe est excellente, super bien présentée… en fait, le seul défaut de la place, c’est qu’il y a trop à manger ! Pour fêter ça, je découvre une autre déclinaison de Storm. Tout aussi sympathique. Bon, ça va ; on boude moins.

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    Encore une bière dont le type décrit très bien le goût. Doré en bouche, légèrement houblonneuse ; tout petite note liquoreuse pour compense l’amertume du houblon… le tout dans un équilibre parfait. Décidément, j’ai hâte d’essayer les autres Storm !

    Ubud

    Changement complet de rythme ; changement d’approche ; changement de style. On se pose pour quatre jours à Ubud, capitale culturelle de Bali. On a quitté les plages, le farniente et le snorkeling.

    Il est des endroits que l’on pense directement inventé par les auteurs du guide du routard. Des genre de paradis à Bobo. Le plateau Mont Royal, Nelson (BC), ou encore le quartier des galeries d’art à Portland. Ubud fait aussi parti de la liste. Paradis des artistes balinérois, découvert il y a une vingtaine d’années par les touristes, et en évolution depuis. Aux sculpteurs sur bois, tailleurs de pierre et peintres se sont tranquillement ajoutés les restaurants et les magasins pour touristes. Mais dans un style très différent de Sanur. Parce qu’ici, par contre, la culture a encore toute sa place. Tourisme un peu plus responsable ou un peu plus intéressé ? Sans aucun doute. Touriste avec son sac à dos, qui vient découvrir un style de vie. Saupoudré d’hindouisme, de zen, et de relaxation. On y trouve de nombreux centre pour pratiquer le yoga, un marché bio, et plein de boutiques où fleurissent les mots « fabriqué à la main », « naturel », etc…

    Il n’empêche que la ville est extrêmement sympa et que notre hôtel avec sa vue sur la petite rizière est super bien situé, et qu’on peut donc se balader et découvrir la ville à pied sans le moindre problème. Du moins le centre ville… parce qu’on se rend rapidement compte qu’Ubud s’étire dans toutes les directions, et qu’il est possible de marcher pendant longtemps si on veut voir les 834 tailleurs de bois que compte la ville (nombre totalement aléatoire mais sans doute proche de la vérité).

    C’est un peu un endroit idéal pour magasiner. Beaucoup de choix, tout les styles, et des prix qui valent quand même bien la peine. Surtout quand on commence à maîtriser un peu mieux les rudiments de la négociation. Du coup, moi qui ne suis parti avec presque rien, je me retrouve avec une garde robe un peu mieux rempli. Ne reste plus qu’à trouver un ou deux pantalons pour faire mon bonheur.

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    Ubud, c’est aussi connu pour la « Sacred Monkey Forest ». Les singes sont des animaux sacrés ici, et ils en profitent bien. Surtout dans les lieux très touristiques. En plein coeur d’Ubud, il y a donc cette magnifique forêt tropicale, avec ses arbres tout aussi magnifique, peuplés de singes qui adorent venir piquer les bouteilles d’eau des touristes, et se faire donner des bananes (que les touristes auront pris soin de payer hors de prix à l’entrée). Nous, on n’en a pas acheté. On s’est contenté de suivre les gens qui en avaient, au début, avant de se rendre compte que ce n’était même pas nécessaire. Et du coup, on en profite pour faire quelques photos. (les réactions « mon dieu qu’il est laid » ou « non mais franchement, quelle gueule de pas terminé celui là » sont tout à fait normales. On a eut les mêmes).

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    Boire à la bouteille en trois étapes :

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    Là, c’est un des endroits où vous pouvez dire « mon dieu qu’il est laid ».

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    Opération commérage à la crèche.

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    Kecak fire et trance dance

    Ubud, c’est aussi des spectacles tous les soirs ; danses traditionnelles en tout genre. Et c’est ce que l’on a l’intention de voir. Il s’agit en fait d’histoires contées/dansées. Du genre directement sortie du Mahabarata, donc absolument impossible à comprendre, même quand vous les lisez en français dans le texte. Alors quand ça devient transposé en mouvement, c’est une toute autre histoire. Côté musical, il y a un choeur d’une trentaine d’hommes. Qui bougent un peu, et inter agissent avec la demi douzaine de danseurs principaux. Qui se montrent par deux ou trois maximums. Dur à décrire, dur à comprendre… quelques extraits de films, que je ne sais pas trop quand j’arriverais à mettre en ligne. Côté photo, la job n’a pas été facile non plus. Très sombre, avec un arrière plan très lumineux. Bref, j’aurais fait de mon mieux.

    L’expérience est particulière. Pas sûr de vouloir la renouveler ; il n’empêche que j’ai quand même bien aimé.

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    La soirée se conclut sur un rite dont je ne me souviens plus le nom. On fait un gros feu de noix de coco, et ensuite un homme déguisé en cheval marche sur les braises, et balance de grands coups de pieds dedans. Pieds nus bien évidemment. Concept intéressant. Surtout au niveau photographique !

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    Finir sur la pensée du jour ?

    En Indonésien, « canard » se dit « bebek ». On pourrait donc traduire « frencher un huard » par

    Faire un bec, sur le bec d’un bebek du Québec.

    Impec, non ?

    2 commentaires

    1. Commentaire de alexandra

      Avoir une voiture, c’est un peu la liberté c’est sur ! A pied c’est toujours un peu plus dur sauf quand on est dans une grande ville.
      Un repas ça coute combien environ ? En tout cas, ça donne faim.

    2. Commentaire de Sébastien Chion

      La voiture est une liberté indéniable, à un prix quand même assez correct. Par contre, il faut être prêt à conduire à Bali ce qui, je pense, n’est pas pour tout le monde. Je ferais une description plus détaillée de la conduite un peu plus tard. Côté repas, on s’en sort en général dans les 8-12 euros pour deux. Les deux ou trois fois où on a décidé de faire sauter la note, on a réussi (difficilement) à atteindre 35 euros à deux. Généralement, avec cocktail, entrée, plat, dessert. Bref, on profite du luxe que l’on n’aura plus en Australie ;)

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