Rue du Pourquoi Pas



Parce qu’il y a toujours une route qui, quelque part, m’attend.
Carnets de route, photos de voyages, et pensées vagabondes.

Écrit par : Sébastien ChionNovember 1st, 2018

« C’est l’histoire de gens qui se rencontrent »

 

« À Vancouver, tourne à gauche» est le premier tome de la trilogie des aventures du Pourquoi Pas ? Il est suivi par « En Oregon, tourne en rond » et « À Portland, tourne la page ».

 

Extraits

Vous voulez un avant goût du livre ? Tout ces extraits sont en format pdf.

Lisez un des extraits suivants (attention : ces extraits peuvent vous dévoiler une partie de l’histoire)

 

 

 

Médias

8 septembre 2013 :

Isabelle, blogueuse de Finis Africae parle de « À Vancouver, tourne à gauche » dans sa dernière Kro Livre.

27 juin 2013 :

Le Dauphiné Libéré revient sur la séance de signatures qui avait pour moi, en effet, un petit côté retour aux sources.

22 juin 2013 :

Le Dauphiné Libéré, en plus de deux petits entrefilets, présente un autre article pour annoncer ma première séance de dédicace.

26 mai 2013 :

On parle du livre en Helvêtie, sous la plume numérique de l’Helvête Underground.

17 mai 2013 :

Première apparition de « À Vancouver, tourne à gauche » dans le journal, avec un article dans le Dauphiné Libéré.

18 avril 2013 :

Un commentaire assez détaillé, paru sur la Feuille Charbinoise.
Article repris le 24 avril 2013 sur le site d’Altermonde.

22 janvier 2016 :

Ceci n’est pas un blog littéraire, certes, mais il parle quand même de la trilogie !

 

 

10 commentaires

  1. Commentaire de Kaly

    Ta correctrice a-t-elle le droit d’ouvrir le ban des commentaires ?

    Tu es loin d’être le seul sur le texte de qui je me suis penchée, scalpel en main. J’ai beaucoup aimé travailler avec toi, et ta façon d’accepter ou de refuser mes propositions. Au moins, au final, il s’agit de TON texte et pas du mien !

    J’ai eu plaisir aussi à lire ce texte léger, mais pas que. J’y ai trouvé beaucoup de profondeur, beaucoup de pistes de réflexion. Ça se lit bien, ce personnage en quête est attachant et on aime le suivre. Les rencontres se font d’emblée, sans tralala, il n’y a pas de glace à rompre, cela m’a bien plu.

    Ton “à Vancouver tourne à gauche” mérite de trouver un lectorat, et tant pis pour les éditeurs frileux. D’ailleurs, en auto-éditant ton “autofiction”, c’est une façon d’aller au bout de l’aventure.

    Je souhaite que pour toi elle soit longue, plaisante et riche en rebondissements.

    J’attends le tome deux avec une impatience gourmande !

    Kaly

  2. Commentaire de françois sylviane

    C’est avec grand plaizir que j’ai découvert la publication de ton livre sur le Dauphiné, me suis empressé d’aller l’acheter le jour même pour l’offrir à Angelina et de découvrir avec elle ton périple
    Esperons une petite séance de dédicace afin de te revoir et d’avoir ta griffe perso sur le livre
    je t’embrasse ainsi que toute la famille
    continue d’écrire et de nous enchanté
    bizes. Sylviane

  3. Commentaire de jacques C

    Je viens de terminer la lecture de ton 1° livre (sur le Québec….sic !) et je suis enchanté ! C’est vraiment bien écrit. On en voit pas défiler les pages.
    Vite, sers-nous la suite promise : En Oregon, tourne en rond !!!
    A bientôt pour la séance de dédicaces. Préviens-moi bien à l’avance, on l’annoncera dans le DL.
    Jacques
    PS: Au fait dis donc, je ne savais pas que tu étais un pareil “tombeur” !

  4. Commentaire de Odette Laplaze-Estorgues

    Bonjour Sébastien,

    Au moins une bonne semaine que j’ai terminé ton livre sans trouver assez de temps pour te donner mes impressions. Mais tout reste frais en mémoire et “frais” est bien le mot qui convient tant j’ai ressenti cette impression à te lire avec, de surcroît, une forme d’adhésion à tes états d’âme et à ta manière simple et naturelle d’en parler. Ton style très sobre convient bien au genre “carnet de route”. J’ai éprouvé une sorte d’impression de retour à l’essentiel, mêlant le moi et les autres, dans un cadre splendide et toujours renouvelé, au fil des kilomètres.
    J’ai aussi apprécié que tu parles, sans détour, de tes rencontres amoureuses et “coquin” tu as su nous laisser sur notre faim avec ta romance avec la belle Gabrielle. Gabrielle que chante encore Johnny et que ne chantera plus Baschung et lui, je le regrette davantage que l’autre…
    Donc, cher Seb, j’espère que tu ne nous feras plus attendre, trop longtemps, la suite exotique (j’ai bien écrit) de tes vagabondages lointains.
    Amitiés d’auteur à auteur.

    Odette L-E

  5. Commentaire de Isabelle

    Ah, ben apparemment, j’ai plus ton mail… Je t’ai laissé un message dès que j’ai eu fini, cet été et je n’ai pas eu de réponse… je suppose que ton mail à changer.

    Alors je te livre ma Kro ici : http://blogs.bl0rg.net/finis_africae/2013/09/08/kro-livres-4/

    En résumé, j’ai aimé
    Au plaisir d’en parler en vrai…

  6. Commentaire de Céline

    Comme je le redoutais, ce livre est un danger. Pas un déclencheur, pour ma part, car il y a bien longtemps que les ressorts sous mes chaussures se tendent, et finiront bien par péter et me catapulter hors de cette foutue capitale parigotte. Je parlerais plutôt d’un savon qu’on répand en ricanant sur une pente, en pensant à la gamelle que va se prendre le prochain clampin qui passera par là. Bien entendu, le bas de la-dite pente est pourvu d’un trampoline orienté vers… Vers où, déjà ? N’importe où, mais loin d’ici.

    Un livre de voyage, donc. Intérieur, il faut le croire, vue la manière avec laquelle tu t’attaches à “privilégier” cette description. Logique, dirons-nous, quand on se sent submergé par les éléments extérieurs. Je ne connais pas le Canada, mais rêve d’aller y faire un tour, pourquoi pas à longue durée, et pourquoi donc pas à quatre roues aussi ? Et, au final, pourquoi cette destination, et pas une autre ? Tu l’écris aussi fort que je l’ai hurlé: le voyage, les rencontres, le mouvement, tout ce que les gens prennent pour des “à côté” de la chose, importent 99% de fois plus que la destination. Ton livre rend un fabuleux hommage à cette constatation, qui ne peut se faire sans voyager. Comment parler de cela à quelqu’un qui n’a jamais voyagé ? Comment partager cette envie d’aller encore plus loin, suivie de celle de ne pas bouger d’un pet pendant plusieurs jours, à celui qui prend son TGV annuel pour s’échouer à la plage, entre deux autres serviettes de bain ?

    Ton livre a le mérite d’être honnête. Ni trop, ni trop peu, une écriture simple, accrocheuse, un rythme entraînant, même dans les moments de relâche. On entend presque les gobelets accrochés au Pourquoi Pas ? cliqueter contre la vitre arrière dans les virages, on sent la chaleur du feu de bois lors du bivouac, on découvre les Rocheuses et on les voit se rapprocher, on se prend les ronrons du chaton de Kelly dans les oreilles. No comment pour les draps de satin; faudra que je teste, mais c’est moins rock’n’roll que le duvet Quechua ! On a presque envie de te suggérer une playlist de route. C’est très important la playlist quand on roule, suivant le fonctionnement de notre mémoire, on ne peut plus l’écouter après sans faire remonter d’un coup de délicieux souvenirs.

    En bref; bravo, et surtout merci pour ce bouquin qui est un vrai bol d’air frais !

  7. Commentaire de Janet

    Je viens de finir la lecture de votre histoire. Ça me plaît.. Il y a plusieurs années j’ai fait un tour à bicyclette à Mackinac et Les Milles Îles. Aujourd’hui j’ai encore ma bicyclette, mon amie. Je connais quelques routes que vous avez décrit. C’était si bon de lire vos pensées et de réfléchir avec mon café. J’espère vous irez à Montreal et tourne à droite à Pittsburgh.

  8. Commentaire de Laurence

    bravo, j’aime beaucoup, c’est un univers très doux

  9. Commentaire de didier

    Sous le conseil bienveillant de la bibliothécaire de VEZERONCE CURTAIN, j’ai découvert A VANCOUVER TOURNE A GAUCHE.
    J’ai pas été déçu… et je la remercie mille fois de son conseil.
    J ai adoré cette description rapide du CANADA et du nord des ETATS UNIS.
    C’est décidé, j’essaie dés ce matin d’appliquer quelques préceptes de vie de l’auteur.
    J’attend la suite avec impatience.

    Merci encore Sébastien.

  10. Commentaire de FRUIT CHANTAL

    Quel bonheur de suivre l’auteur dans son périple. Dans un style simple et prenant, il nous fait découvrir les routes canadiennes et américaines qui ne sont que le décor des rencontres amicales ou amoureuses qui se succèdent. Au fil des pages on s’attache à lui et on découvre son âme d’artiste et sa sensibilité. On suit avec intérêt, sa quête de lui même, de ce qu’il attend de la vie et d’une relation amoureuse. Beau récit qui donne envie de connaitre la suite . BRAVO !

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