Rue du Pourquoi Pas

Juste avant : Copenhague architecturale

Dans mon esprit de franco-canadien plein de préjugés tout bête, si on me dit “Danemark”, je pense Carlsberg, hotdog, frites et fromage en plastique.Des aliments à tendance insipide, sans saveur, sans grand intérêt, sans trop de personnalité.

J’adore me prouver que mes préjugés sont faux. J’adore aussi vérifier que l’on peut bien manger et bien boire absolument partout dans le monde si on en a envie. Jusqu’à présent, j’ai toujours réussi à satisfaire mes papilles gustatives (oui, je garde le défi anglais pour le plus tard possible).

Pour ce qui est de partir en quête de bonne bière et de bonne nourriture, j’avais la compagne idéal : Solenn et moi partageons un don que nous sommes tout deux heureux d’avoir. La capacité de repérer une micro-brassrie à distance, de la débusquer au détour d’un carrefour, alors que rien ne présupposais son existence. Cette capacité, aussi, de se trouver à devoir choisir parmi une vingtaine de bières en bouteille, et de presque toujours en choisir des excellentes.

Copenhague n’a pas fait défaut à notre sixième sens. Nous nous sommes régalés. Tant au niveau de la nourriture, que de la bière.

On boit :

Et on mange :

Mention spéciale pour les petites cabanes que l’on retrouve un peu partout, et où l’on peut manger de magnifique saucisses, bien grillées, parfaites, juste comme il faut. Surtout quand on a beaucoup marché, et que l’on a faim. Les vendeurs amènent leur cabane, vende leurs saucisses puis, le soir venu, repartent avec leur cabane.

Juste après : Copenhague parcs et châteaux

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