Tête en bas

Down under wandering. Archipelagoes to islands; beaches to deserts; mountains to cities.

The pleasure of making mistakes


I’ve always said that making mistakes results, most of the time, with interesting consequences. It’s true in most part of your life, but that’s specially true in a kitchen. So much recipe came from mistake… I always end up talking about food with the people who host me. I don’t remember why we were talking about “crème brûlée” with Rosie, but I said that I would be really happy to cook some for all the housemates. I hadn’t make “crème brûlée” for a while. I was feeling that there was quite a lot of sugar… but still, I cooked them… to realize, later, that I put 4 times much more sugar. Hum… It was good, but definitely to sweat to be eaten like that.

And then, I realize it tastes exactly the same that a Sugar Pie feeling. There was the solution to my problem. Cause yes, I was quite ashamed. Crème brûlée is not such a hard recipe… so I just had to put everything back in a bowl, mix it again, and made a shortcrust pastry,

Twenty minutes in the oven…

And that was done !

And yes, according to the other in the house (two australians, one italian, one german and one dutch) it was pretty good.

So… if you want to make a very nice homemade traditional sugar pie, just miss your crème brûlée !

3 Responses to “The pleasure of making mistakes”

  1. March 30th, 2012 at 6:43 am

    La Feuille says:

    Ça m’a l’air sympa comme recette quoique quelque peu calorique. Nous on s’est contenté d’une tarte au beurre et au sucre, spécialité de Pérouges la médiévale…
    Au fait c’est quand qu’on laisse de côté le parler shakespearien pour retrouver le langage de Rabelais et de Zévaco. A moins qu’une version bilingue…
    Ce n’est pas qu’on ne lise pas l’anglais dans le texte, c’est juste qu’on tire nettement moins de plaisir (enfin moi) à la découverte de chroniques dont le contenu est – comme toujours – aussi divers que passionnant.
    Faut-il lancer une pétition ? Je pense trouver au moins deux ou trois signataires…

  2. March 30th, 2012 at 10:47 am

    Sébastien Chion says:

    Très très peu calorique. Après tout, ce n’est qu’une crème brûlée avec trop de sucre. Donc de la crème, des oeufs, et du sucre. Rien qui ne soit diététique donc !

    Pour ce qui est de remplacer Molière par Shakespeare, j’avoue espérer continuer à bloguer en anglais pendant 365 jours. Si cela devait se produire, il existe plusieurs possibilités pour produire des blogs bilingues. J’en ai déjà étudié quelques unes; je pense que j’opterais pour l’une d’elle.

  3. March 30th, 2012 at 1:32 pm

    Sébastien Chion says:

    J’ajouterais aussi qu’être bilingue (malgré l’accent et les hésitations qui restent parfois, je me considère comme tel) permet de faire des expériences intéressantes. Voilà un bon moment déjà que je me suis rendu compte qu’il y a certaines choses qui se disent mieux en anglais qu’en français, et réciproquement. Ce n’est pas forcément un secret pour grand monde d’ailleurs. C’est, semble-t’il, la même chose quand vient le temps d’écrire. L’anglais n’amène pas les mêmes formulations, la même approche. Du coup, tenir le blog en anglais me permet de voir un peu les différences à ce niveau là aussi.