Je retourne marcher un peu dans les stands. Je passe un côté d’un fabriquant de flûtes japonaises (à base de roseau). Les flûtes sont magnifiques. Je commence à discuter un peu. J’en essaie quelques unes. Le vendeur est super sympa. Je pense aux histoires que j’aime raconter ; à ces contes plus ou moins zens, plus ou moins japonais, qui constituent mon bien maigre répertoire. Les flûtes sont magnifiques. Ça ferait un super souvenir. Je suis à deux doigts de craquer. Les prix restent, il me semble, raisonnable. Du moins le serait il si je travaillais à temps plein. Cette fois, je ne succombe pas à la tentation. À ma grande déception.
Carnets de route
Surtout, ne pas succomber à la tentation… mais quand même !
1 Response » to “Le vendeur de flûte”
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L’auteur, qui repassait par là bien longtemps après, découvre à sa grande honte qu’il a osé écrire “roseaux”. Non mais franchement… le lecteur aura corrigé de lui même, et lu “bambous” bien évidemment !