Formerly, “Pourquoi Pas ?” was a scientific explorating boat, owned by commandant Jean-Baptiste Charcot, at the end of the 19th century. There will be 4 differents boats with the same name ; the most famous is the fourth. The name simply come from the habits of Jean-Baptiste to answer “Pourquoi Pas ?” (“Why Not ?”) when people ask him about is plan to become a captain.
I first met “Pourquoi Pas ?” by chance ; I was visiting a friend, in the north of France ; looking on the map, I just discover a street named “Pourquoi Pas ?” and I really like it. It makes me dream, imagining lots of thing. And then I heard about the boat. Slowly, I take this habbits of answering “why not?” when people ask me question, discovering how symbolic it can be. And slowly, this few words started to take lot of place in my life.
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À l’origine, le « Pourquoi Pas ? » est un bateau d’exploration polaire, commandé par Jean-Baptiste Charcot, à la fin du 19e siècle. Ils seront quatre à se succéder pour porter le même nom, le plus célèbre étant le dernier. Le nom vient tout simplement de l’habitude qu’avait Jean-Baptiste Charcot de répondre « Pourquoi Pas ? » quand les gens s’étonnaient de son envie de devenir capitaine d’un bateau d’exploration.
Ma rencontre avec le « Pourquoi Pas » s’est faite complètement par hasard. Je rendais visite à une amie à Lens, dans le nord de la France. En regardant une carte de la ville, juste à côté de chez elle, je voyais « rue du Pourquoi pas ». Je trouvais ce nom de rue magnifique ; il me laissait rêveur, me laissait imaginer de nombreuses choses. Et puis j’ai entendu parler du bateau. Petit à petit, je me suis approprié ce « pourquoi pas », découvrant toute la symbolique de cette réponse. C’en est presque devenu une forme de mantra. C’est également devenu le nom de la compagnie que j’ai créée, en devenant travailleur autonome. Conception Pourquoi Pas ?
Il était tout à fait logique que ce nom / cette question devienne l’emblème de ce road-trip un peu fou, pas du tout planifié, qui devrait m’emmener un peu partout sur les routes du Canada et des États-Unis. Étrangement, je trouve très touchant le nom de « petit pois » que les anciens propriétaires avaient donnés au van que j’ai acheté ; ça restera très probablement son surnom. Mais en même temps, je ne me voyais pas ne pas partir au volant du « Pourquoi Pas », premier du nom.