À la place, je rentre au camp, finaliser mon exposition éphémère. J’imprime la dernière photo manquante, l’ajoute sur une planche que j’ai trouvé, et amène tout ça au temple. Je la dépose cinq minutes avant qu’ils ferment l’accès. Du coup, j’avoue que je regrette un peu. J’aurais aimé que plus de gens puissent voir les photos. Tant pis…