Un peu plus tard, on s’arrête à un point de vue. On rigole bien quand on voit que la barrière protectrice est recouverte de tags de gens sur la route de l’ouest. Ça me fait penser à un passage de Volkswvagen Blues, de Jacques Poulin. Ils s’arrêtent à un moment pour admirer une pierre où sont inscrits les témoignages de tant de personnes et familles parties coloniser l’ouest. Nouvelle époque, nouveaux moyens de transport, nouveaux objectifs, mais même réflexe, même besoin de laisser une marque. Nous ne pouvons évidemment pas nous empêcher de faire de même.